dimanche 15 février 2015

Saint-Valentin et gueule de bois

Fête de l'amour, faîte de nos jours et faites l'amour. 

Tes seins voletant sur fond de Saint-Valentin me rappellent soudain que ces saints valent autant que rien.
Des saints ballots tiens, tes seins ballottent hein, dessein de balles au thym, dessin de ballotins.

Le jour d'après, le lendemain, que reste-t-il de ce dîner, de nos chandelles, de ces dires vains, de ce chant d'elle. La belle soirée est déjà fanée, comme la fleur que tu m'as donné.

Jamais plus, plus jamais. Que notre amour résonne chaque matin, toujours. Et non, par année, un seul jour de février.

samedi 14 février 2015

De jolies citations d'amour


"Rencontrer l'autre, c'est un peu se découvrir".
— Petula Darsan


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"L'horizon n'est rien si tu n'es pas devant".
— Petula Darsan (Comme je t'aime)


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"Elle est mon héroïne. Celle qui a jadis coulé dans mes veines. Drogue vaine, héro tic. Son effet galvanisant sur son âme, sur mon tout mon être. Elle me réveille à la vie, chaque matin. Elle me calme, elle me came. Drogue dure, drogue pure, drogue pute. Ses mains sur mon dos, ses ongles griffant ma peau. Elle est tout entière, héraut d'érotisme. Un érotrip à elle seule. L'amour en étendard, les sens sans interdits. L'essence de ma vie."
— Petula Darsan (Un ruban rouge)
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"J'aurais pu réduire au ridicule tous ceux qui promettaient de te décrocher la lune, déplacer les océans plutôt que les montagnes, m'amuser de la mort comme on joue avec un nouveau né, étirer la vie, vaincre le temps et la plus atroce des maladies. Il aurait suffit que tu me regardes pour que mes forces soient plus intenses que mes muscles. T'aimer me suffisait. J'aurais même pu arrêter de respirer si tu me l'avais demandé."
— Petula Darsan (Les saisons de l'amour)
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"Je la regarde et je ne sais que dire mais deux mots que je n'avais encore jamais prononcés s'échappent de mes lèvres sans que je ne puisse les rattraper. Je t'aime."
— Petula Darsan (Le Cadeau)

Devenons amis

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vendredi 13 février 2015

Un ruban rouge - extrait

Elle est mon plus merveilleux voyage, aux ondes gouteuses, aux saveurs indiennes, tantrisme et kama sutra. Mon plus joli karma. Et tant de triques.
Allongée, elle est un paysage de dunes couleur chaire. Le galbe de sa poitrine et la douceur de ses fesses, une oasis en plein désert. Le paradis sans un grain de sable. Ses lèvres, généreuses et déterminées sont un faire-part envoyé par les seins. Mon dessein. Mon destin. Deux lunes rosées, sucrées, à croquer. Et puis son cou, sacrés coups. Coup de reins, coup de langue, coup d'œil, coup de croupe.
Elle ne sait pas qu'elle est jolie. La beauté ne dure pas, lascive, temporaire, subjective. Elle ne se pose même pas la question. Elle se contente de vivre. De jouir de chaque instant. « Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain : cueillez dès aujourd'hui l'éros de la vie » répète-t-elle avec malice.

vendredi 6 février 2015

Les saison de l'amour - extrait

Je t'ai rencontrée au printemps, à l'aube de tes seize ans. Libre, souriante, ouverte à la vie, déterminée au bonheur. La fraîcheur de ton teint n'avait d'égale que la douceur de tes seins. Tu étais si douce, puissante et fragile, mystérieuse et exubérante. A tes côtés je me sentais le plus immense des hommes, fier de te tenir par la main, capable des plus grands exploits. J'aurais pu réduire au ridicule tous ceux qui promettaient de te décrocher la lune, déplacer les océans plutôt que les montagnes, m'amuser de la mort comme on joue avec un nouveau né, étirer la vie, vaincre le temps et la plus atroce des maladies. Il aurait suffit que tu me regardes pour que mes forces soient plus intenses que mes muscles. T'aimer me suffisait. J'aurais même pu arrêter de respirer si tu me l'avais demandé.
La vie à tes côtés s'annonçait belle, divine, sereine. Un horizon sans nuage.
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Je t'ai aimé dès que je t'ai vu, sous ce soleil d'été. Passionné, téméraire et heureux. Ton énergie euphorisante irradiait autant que le soleil de juillet. Tu étais rayon, chaleur, lumière. Moteur de ma vie. Motard de la nuit. Ton souffle réchauffait mes entrailles autant que ton sourire illuminait mon cœur. Ta seule présence m'enveloppait d'un bien être indescriptible, le moindre de tes messages faisait bouillir mon sang, lequel ne coulait d'ailleurs que pour toi. Mes yeux s'ouvraient uniquement pour te voir, mes doigts te cherchaient partout. Tu m'as attendu à la sortie de l'université et tu m'as emmenée parcourir le monde.